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Moqué pour ses “longs cheveux”, ce petit garçon a envisagé le pire mais attendez de voir ce qu’il est devenu aujourd’hui

Et comme pour signifier qu’il ne s’agit pas d’une simple histoire de cheveux mais qu’il s’agit bien d’une question de genre, de sexisme, et d’appartenance culturelle, voici la bio que Farouk et sa maman ont rédigée sur le compte Instagram : « Un voyage documenté organique et coloré à travers l’enfance, l’alimentation, les cheveux et l’égalité. LES CHEVEUX N’ONT PAS DE GENRE. »

UN SUJET ÉPINEUX

Le problème qu’ont rencontré Farouk et sa maman n’est pas un cas isolé. Un autre garçon avec des dreadlocks avait été exclu de la Fulham Boys School de Londres en raison de sa coiffure. La mère a porté l’affaire devant les tribunaux, mais l’école a finalement modifié son règlement pour intégrer des interdictions spécifiques contre les dreadlocks et les tresses.

Bonnie Miller cite également le cas de Deandre Arnold, jeune texan aux dreadlocks, empêché de recevoir son diplôme. Elle souligne le nombre croissant d’enfants américains qui partagent la même amère expérience. En 2019, la Californie a été le premier État à interdire la discrimination des cheveux naturels avec la loi CROWN.

Quant à Farouk, sa mère préfère aujourd’hui qu’il arrête l’école plutôt que de céder à ce chantage : « J’ai essayé de le préparer en lui disant qu’un jour, pour son éducation, il devrait couper ses cheveux. Je pensais qu’il se ferait une raison mais sa passion pour sa coiffure s’est intensifiée. Il est terrifié. Il m’a dit que si on lui coupait les cheveux, il ferait une dépression« , s’alarme-t-elle.

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